La douleur et les bouleversements causés par la perte d’un être cher envahissent les proches lors de ce triste moment. Pourtant, il va bien falloir surmonter cela et penser à s’occuper de l’enterrement et de tout ce qui tourne autour de ce sujet. Voici 3 choses à savoir pour bien organiser les funérailles.
Tout ce qui est côté administratif
Aucun être vivant n’est jamais totalement prêt à affronter le décès d’un proche. En effet, en ces moments tristes, on est obligé de surmonter les douleurs et de penser aux détails que nécessite l’organisation d’un enterrement. Le côté administratif est un point important en commençant par l’établissement d’un certificat médical de décès nécessaire à la déclaration et à l’acte de décès. Après accord entre les proches ou après la découverte des volontés du défunt, s’il y en a, il faudra choisir quel type d’enterrement choisir. En cas d’inhumation, il faudra demander une autorisation au département et à la commune choisie. Pour aider les proches dans ces démarches, des prestataires comme
chez meilleures-pompes-funebres.com proposent des services pour assurer une meilleure organisation de l’enterrement.
Quel type d’enterrement choisir ?
Ce n’est pas rare qu’avant sa mort, une personne organise elle-même son propre enterrement. Ceci pour éviter les démarches aux proches, mais aussi pour éviter les conflits sur une mésentente. Un défunt peut être inhumé, c’est-à-dire que son corps sera déposé dans un cercueil et mis en terre dans un caveau familial, communal ou dans un cimetière. Si de son vivant, la personne a souhaité d’être incinérée, la crémation peut se faire dans un crématorium agréé. Les cendres seront mises dans une urne et remises aux proches. Peu importe le choix, l’enterrement doit se faire au minimum 24 heures et au maximum 6 jours après le décès.
Quel type de cérémonie ?
Il est important de connaître les volontés du défunt, mais si elles n’existent pas, les proches doivent se mettre d’accord. Une cérémonie est nécessaire pour perpétuer les souvenirs, mais aussi faciliter au maximum le travail de deuil. Il est donc possible de créer des poèmes, des chants ou des gestes d’hommage. Elle peut être religieuse ou civile, partagée avec du monde ou seulement en intime, à la maison du défunt ou dans une agence de pompes funèbres. Ainsi, pour éviter de manquer aux obligations, il peut être plus judicieux de faire appel à des professionnels qui s’occupent de tous dans les moindres détails : le service de mise-en-bière, les accessoires nécessaires, les fleurs, les faire-part, l’enterrement proprement dit…